Test de l’Alpine A110, la petite française aussi séduisante que surprenante


Hello !

Il y a quelques temps maintenant, vous avez pu voir passer des photos et des stories à propos d’un tournage avec Alpine. J’ai effectivement eu le plaisir immense de tester en totale autonomie la nouvelle A110. Un grand moment, assurément.

À cette occasion, j’ai sollicité mon oncle, mon Tonton Pierre, Pierre Lartigue, Pilote professionnel, plusieurs fois champion du monde et vainqueur du Paris Dakar. Petite, j’entendais parler de ses exploits à travers mes parents, mes grands parents, oncle et tante… vous n’imaginez pas la joie que j’ai eu, aujourd’hui, de pouvoir m’associer avec lui sur un si joli projet vidéo, pour une marque aussi belle qu’Alpine.

Pierre et Alpine, c’est une histoire d’amour qui a démarré quand il était tout jeune. Il n’a jamais couru pour eux mais, avec le premier cachet de sa première course, c’est une Alpine qu’il s’est offerte : la désormais emblématique Berlinette. Étant donné que le design de l’A110 fraichement sortie rend hommage spécifiquement aux codes initiés par la Berlinette, nous n’avons pas bouder notre plaisir au moment de les faire rouler côtes à côtes.

Avant de passer au volant, je me suis prêtée au jeu de présentatrice afin de présenter, pour le Centre Alpine RRG Nice, les différents modes de conduite. Un exercice amusant et plus difficile qu’il n’y parait. Mais cette voiture, ce test, méritaient bien plus qu’un article !

Avant de passer dans le vif du sujet et de vous parler de mes impressions de conduite, je vous invite à découvrir la vidéo dont je vous parle. Par ici !

La vidéo vous donne un aperçu sympa de l’Alpine A110, de mes premières impressions de conduite et surtout les impressions de mon oncle, avec un oeil pilotage.

Trois modes sont présents sur la voiture, permettant d’adapter le dispositif mécanique et électronique à votre mood de conduite :

  • Mode Normal, pour une conduite en ville, sereine et pas trop nerveuse.
  • Mode Sport, pour une conduite plus énergique et réactive, sur route de campagne, par exemple.
  • Mode Track, pour une conduite exclusivement sur circuit !

J’ai démarré ma prise en main, je vous, l’avoue, peu rassurée et avec un peu de pression, sur le mode normal. L’idée était de me familiariser tranquillement avec la voiture, dans la rues de Nice. Après une petite demie heure sous tension, j’ai réussi à désacraliser le bolide et à être plus à l’aise dans ma conduite.

Il faut dire que chaque détail, à l’extérieur comme à l’intérieur est étudié pour être remarquable. Les commandes, les enceintes, les finitions intérieures. Cette voiture m’a autant impressionnée qu’elle m’a semblé familière. Comme si elle me disait « mais oui, tu peux y aller, on va s’amuser toi et moi ».

Je vous parlais tout à l’heure des modes de conduite. Le petit bouton rouge que vous apercevez sur le volant sert à passer rapidement d’un mode à l’autre. Très simple. Je vous l’avoue, j’ai vite abandonné le Mode Normal pour le Mode Sport. Un peu plus nerveux et réactif bien que tout à fait maîtrisé en ville. Mais la gouache et ce moteur qui chante… je ne voulais pas passer à côté. Une fois sur les petits chemins et routes de montagne, il était encore moins question de s’en priver ! La signature sonore sportive du moteur est à tomber. Il s’agit d’un petit 4 cylindres turbocompressé, situé en central arrière, injection directe 1,8 L. Quand je vous dit qu’il pulse et qu’il chante, je pèse mes mots.

L’Alpine, du temps de la Berlinette est une voiture qui n’est pas spécialement faite pour la vitesse à plat et sur de longues distances mais surtout pour manger des routes de montagne, accrocher parfaitement la route et se démarquer par un répondant au top sur les reprises et changements de régime. On retrouve cela sur l’A110, la vitesse en plus. J’ai eu entre temps le plaisir de la tester sur circuit : 4,5 secondes du 1 au 100km. Pas mal. Pas mal du tout. Il y a de quoi s’amuser.

C’est surtout sa maniabilité, sa prise à la route qui est incroyable. Mais cela, dans la vidéo, mon oncle en parle mieux que moi. Et si c’est un pilote pro’ qui vous le dit…

Petit point sur la bête :

Petit coupé sport ultra léger, de 252 chevaux au prix d’entrée très attractif de 58 500 €, l’Alpine A110 a tout d’une grande et rivalise sur circuit avec bon nombre de bolides. Elle s’est d’ailleurs mesurée sans soucis à la Porsche 718 Cayman…

Equilibre parfait. Centre de gravité savamment étudié. Légèreté remarquable. Maniabilité exemplaire.

Non, vraiment, je n’ai rien à reprocher à cette voiture. Même son design qui a fait débat dans mon entourage m’a complètement séduite. Elle n’est pas agressive, elle n’est pas tape à l’oeil. C’est une petite française discrète et performante. Néanmoins, la réaction des Niçois, à son passage, ne laissait aucun doute sur sa popularité. L’Alpine est une légende et l’A110 rejoint le peloton.

Nous avons ensuite joué au jeu du chassé-croisé, avec mon oncle. Moi au volant de la petite nouvelle et lui au volant de la Berlinette. Nous avons arpenté les routes de campagne et de montagne de la région de Nice. Quel régal de rouler en Alpine, quel régal de rouler aux côtés de mon oncle. C’est un moment que je ne risque pas d’oublier !

Et puis Pierre a pris le volant de l’A110, histoire de nous montrer ce que cela signifie, un moteur qui chante…

Pour cette partie, je vous invite une fois de plus à consulter la vidéo de l’Académie Alpine by RRG !

Merci mille fois à toute l’équipe de RRG et du Centre Alpine RRG Nice pour cette expérience extraordinaire et pour leur confiance (me laisser vadrouiller comme ça, en toute liberté, avec ce joli jouet, c’était un beau cadeau).

Merci à Pierre d’avoir accepté de faire chanter les moteurs avec moi ! C’était une fierté non dissimulée de rouler à ses côtés !

Merci à Loïck pour toutes les photos superbes qui constituent cet article. Souvenir impérissable.

Crédit photo / www.lqqz.fr

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